yse
Messages : 58 Date d'inscription : 08/02/2010 Age : 55 Localisation : France
| Sujet: les 101 nanars Ven 26 Mar - 23:15 | |
| marrant les associations d'idée je lis ce résumé de film sur Telerama.fr - Citation :
- Le jour où la Terre s'arrêta
Film de Scott Derrickson (The day the earth stood still, USA/Canada, 2008). Scénario : David Scarpa. 105 mn. VM. Inédit. Avec Keanu Reeves, Jennifer Connelly, John Cleese.
Genre : extra bête.
Changement, et de taille, par rapport au classique (un poil surcoté) de Robert Wise (1951) : dans l'original, un extraterrestre était chargé d'une mission préventive qui faisait la singularité du film, en pleine guerre froide, le distinguant de la propagande habituelle. Message clair : que les Terriens s'entredéchirent, soit, mais, en cas d'extension des conflits au cosmos voisin, la flicaille de l'espace détruirait notre planète. A nous de voir... Dans ce remake, c'est tout vu. Puisque nous salopons notre propre environnement, les aliens ont tranché...
« Il n'y a pas dans l'univers beaucoup de planètes où la vie est possible... », explique mécaniquement Keanu Reeves, obéissant à l'unique consigne de jeu de son metteur en scène : « En tout, sois monocorde. » Tout de même, Keanu est troublé : il voit l'amour qu'une mère porte à son fils, il entend pour la première fois du Bach... Les Terriens mériteraient-ils d'être sauvés ?
Aurélien Ferenczi et ça ma rappelé deux livres de François Forestier chez Denoël 101 nanars : une anthologie du cinéma, affligeant mais hilarant Le retour des 101 nanars : une nouvelle anthologie du cinéma navrant (mais désopilant) L'auteur (et ça n'engage que lui) choise des navets qu'il présente de façon hilarante - si si on ne regarde plus les films de la même façon ensuite ! il présente par réalisateurs, thèmes : péplums, espionnage, comédie française (et j'en passe) Ca va de Top gun à Angélique, Independance Day au Le colt, la brute et le karate (!?!) - bref une balade dans le cinema kitchs, raté, barré et finalement hilarant ! car le nanar à la différence du navet s'avère désopilant de maladresse ! | |
|